Lewis Hamilton a révélé que son « combat » au Grand Prix des États-Unis était alimenté par la déception de son premier accident dans un virage avec son coéquipier Mercedes George Russell au Qatar. Le septuple champion du monde de F1 a terminé deuxième sur le Circuit des Amériques après une bataille stratégique tout au long de la course avec Max Verstappen et Lando Norris.
Hamilton s'est rapproché de Verstappen pour prendre la tête de la course tardivement, le Néerlandais souffrant de problèmes de freins avec le Britannique utilisant le composé Medium contre le Hard de la Red Bull. L'écart s'est rapidement réduit dans les derniers tours, mais Hamilton a manqué de temps pour lancer une attaque pour la victoire en course.
"Nous le rattrapions vers la fin et j'avais bon espoir, mais nous avions besoin de quelques tours supplémentaires", a concédé Hamilton. "L'équipe a fait un travail incroyable ce week-end, beaucoup de travail pour apporter cette amélioration ici."
Hamilton était heureux de monter sur le podium après avoir subi une collision dans le premier tour avec son équipier George Russell au Qatar il y a deux semaines. "C'était vraiment difficile après la dernière course. Premièrement, avec tout ce qui se passe dans le monde et ensuite évidemment, la grosse erreur que j'ai commise. J'avais vraiment l'impression d'avoir tellement laissé tomber l'équipe. J'ai dû passer par un processus très profond pour revenir ici. Je me suis donc battu, je me sentais bien et je suis vraiment content de ce résultat."
Hamilton exprime son amour pour les États-Unis
Hamilton, six fois vainqueur du Grand Prix des États-Unis, a été acclamé par une foule partisane qui l'avait soutenu tout au long du week-end. "J'ai toujours aimé les États-Unis depuis l'âge de huit ans lorsque je suis arrivé ici, d'abord à Albuquerque, puis à Los Angeles et à Las Vegas, où j'ai hâte que nous courions", a-t-il déclaré. "Mais je me suis toujours senti vraiment bien ici. Les gens ont été très accueillants. Je peux travailler avec de nombreuses grandes entreprises, c'est un pays vraiment progressiste et je suis très reconnaissant du soutien que nous avons."
